Wie stellen wir uns extraterrestrisches Leben vor? In den meisten cineastischen und literarischen Auswüchsen sind es schleimige Wesen mit einer ausgeprägten Intelligenz. Dazu kommen immer viel Metall und massenhaft filigrane, ausgeklügelte Technik. Als auditiver Teppich umschwirren uns überwiegend brachiale, sehr kalte elektronische Klänge. In Moll versteht sich, denn im All ist es ja düster. Diese vielen Klischees haben sich zu einer eigenen Kultur zusammengefügt – einer nicht menschlichen, extraterrestrischen Kultur. Doch wie kann eine Kultur nur aus Fantasien und wenigen erforschten Beweisen entstehen und wie viel philosophische Kreativität steckt in wissenschaftlichen Theorien? Marcel Gschwend aka Bit-Tuner und der Literaturwissenschaftler Philipp Theisohn versuchen dies mit Hilfe von Sprache, Ton und Bild zu beantworten.
Comment doit-on s’imaginer la vie extraterrestre? Dans la plupart des saillies cinématographiques ou littéraires, elle est représentée par des êtres visqueux dotés d’une intelligence aiguë. S’ajoute à cela beaucoup de métal et une quantité de technique filigrane et sophistiquée. En tapis sonore, volettent autour de nous des sons électroniques principalement brachiaux et très froids. En mode mineur, il s’entend, puisque dans l’Univers, tout est plus lugubre. Ces nombreux clichés se sont agrégés en une culture propre – une culture non humaine, extraterrestre. Mais comment peut naître une culture de la simple fantaisie et du peu de preuves tangibles et combien de créativité philosophique se cache dans les théories scientifiques? Marcel Gschwend aka Bit-Tuner et le philologue Philipp Theisohn tentent d’y répondre avec l’aide de la langue, du son et de l’image.
How do we imagine extra-terrestrial life? In most cinematic and literary emergences it means slimy creatures with a distinct intelligence. In addition, a lot of metal appears and a mass of elaborate, filigree technology. Disguised as an audible carpet, there’s mainly brute, very cold electronic sounds. In minor of course, since it’s gloomy in space. All those clichés came together and the output is an own culture – a non-human, extraterrestrial culture. But how can a culture based on fantasy and only a few scientific evidences even emerge and how much philosophical creativity lies behind scientific theories? Marcel Gschwend, known as Bit-Tuner and the literature scientist Philipp Theisohn try to find answers by means of language, sound and image.
Text: Benoit Perler
Texte: Benoit Perler
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Donnerstag, 28. Mai 2015 - 19:30 - Club Stage / Haus
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