Au commencement était l’Amiga 500: un ordinateur sans jeux vidéos, mais avec un programme de musique qui a vu naître Feldermelder – menhir musical, artiste, directeur de label, producteur et bien plus encore – au début des années 80. Le fribourgeois performe désormais dans le monde entier, à l’intersection entre musique et art contemporain, et définit un nouveau cosmos sonore avec ses installations. Il rejette les stratégies commerciales classiques et se trace son propre chemin. Libre, et guidé par son unique credo: «the lost art of keeping a secret».
Texte: Stoph Ruckli